SINCE 2023
Au-delà du simple spectacle, nous voulons insuffler à nos productions un véritable sens. Aborder les sujets qui traversent notre société, élargir l’angle de vision de ceux qui veulent bien nous accorder leur attention, aider à l’expression de celles et ceux qui ont quelquefois peine à se faire entendre. Nous voulons permettre aux esprits de comprendre, aux regards de changer.
En donnant la parole, en apportant de l’écoute, en créant du confort.
En produisant avec nos émotions et en les faisant partager au travers de toute la gamme des sentiments et de l’éveil.
George MacGregor
QUI SOMMES-NOUS ?
GEORGE MACGREGOR
Né à Bruxelles de père britannique et de mère française, tous deux parmi les pionniers de la Communauté Européenne, il passe sa scolarité à l’Ecole Européenne de Bruxelles avant d’intégrer la Polytechnic of Central London puis la faculté de droit d’Assas-Paris 2 et enfin la European Business School qui l’a conduit à Francfort, Londres et Paris.
Il intègre la Direction du Marketing et de la Stratégie au sein du groupe allemand BSH - Bosch & Siemens à Munich, d’où il est ensuite détaché en France pour y diriger le Marketing. L’aventure se prolonge une 12aine d’années avant qu’il rejoigne l’entreprise allemande Brita. Prenant en 2000 la Direction Générale de Brita France, il fera de la marque le véritable synonyme des célèbres carafes filtrantes, puis dirigera l’Europe du Sud comportant France, Italie, Espagne, Portugal.
Près de 15 ans plus tard, il retrouve la dimension d’une entreprise à taille humaine en s’associant au créateur de Little balance, marque française fraîchement créée par l’expert incontesté du pesage en France. Ils donneront rapidement du sens à la notion de développement durable, devenant dans leur catégorie la marque leader des appareils sans pile.
S’appuyant sur un parcours porté à la fois par la rigueur, la gestion et la créativité, il fonde George MacGregor Productions avec Céline Colassin qui apporte à l’entreprise une vie d’expérience partagée entre Vegas, Paris et Bruxelles dans l’écriture, le casting, la réalisation et la production.
Un objectif : donner de la voix et de la visibilité à toutes et à tous, rentabiliser chaque projet pour mieux soutenir les productions avec du sens !
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CELINE COLASSIN
Parcours radicalement différent pour cette belgo-belge née d’un père chercheur et d’une mère travaillant pour le couturier italien Emilio Pucci. Formation à Paris jonglant entre l’académie de la grande chaumière et l’atelier Fleuri Delaporte.
Elle est ensuite formée au casting par Claude Wolf du fichier du spectacle avant de suivre deux ans durant les cours d’écriture à l'American Films Institute à Los Angeles. Partagée entre la mode de par sa formation et le cinéma au gré des rencontres, elle défile pour Carven, pose pour Valentino, Azzaro, Rocco Barocco.
Elle est représentée par un des plus importants agents de l’époque, George Beaume. Elle débute une carrière de comédienne qui ne la convainc pas elle-même.
Elle se consacre alors essentiellement au casting. Ce qui la mènera régulièrement à Vegas durant plus de vingt ans. Partant du principe qu’elle n’aime pas être dans la lumière mais aime bien mettre les autres dedans, elle se consacre plutôt aux métiers de l’ombre. L’écriture, le casting, la réalisation, la production.
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Née en 1983, Jennifer Maria grandit à Lisbonne malgré ses origines franchement italiennes.
Etudes longues et fructueuses en économie, management d’entreprise, marketing et autres matières aux intitulés parfois plus rébarbatifs, elle mène en parallèle une formation théâtrale qui la fera passer de la comédie à la mise en scène et à l’écriture.
Passionnée par l’économie et la psychologie.
Elle a été la voix d’air France, elle déteste les pingres, les parkings en sous-sol et la raie au beurre noir. Elle préfère le gratin d’endives et le chou farci.
Elle aime se coucher tôt ce qui est un comble pour une comédienne, elle ne sait pas faire l’accent belge et elle n’a pas joué avec Catherine Deneuve.
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JENNIFER MARIA
Le fantôme du Varia
Pièce en un acte de Céline Colassin, grand prix de l’ACTH 2023
Le spectre d’une vielle gloire du music hall hante son théâtre préféré aujourd’hui abandonné
Un peu perdue dans les souvenirs embellis de son triomphe ou le meurtre de son encombrant mari,
Elle pleure son monde disparu dans la frayeur de celui qui le remplace.
Je suis dans la vie.
Mise en image d’un poésie de Damien Paissant. Parce qu’il faut aussi promouvoir le talent et produire par plaisir
En cours de réalisation
Maglé
Clip video du groupe free jazz Maglé écrit et réalisé par Zoé Willems
Ecotrip
Format court pour comprendre l’économie qui dirige nos vies et nos gouvernements.
La Boîte de Pandore
Format court donnant la parole aux femmes à propos des femmes
Episodes réalisés
Eva Darlan, Caroline Loeb
Episodes à venir:
Katia Tchenko, Valérie Mairesse, ...
Les Voyageuses
Série fiction sur le thème du voyage de Céline Colassin & Alain Berliner
Maddalena
Série fiction sur la scène musicale belge des années 80
Ange Noël et la malédiction
Long métrage policier
Cocktail Job-Passion
Série de portraits format 25’ d’hommes et de femmes qui nous invitent dans leur intimité à découvrir leur travail passion
Les petites visites de miss Widow : Série documentaire, format 25’
De personnalités dont la mort a influencé la légende
STORYTELLING
Comme une chanson de Fugain
Comme un film de Lelouch
Janvier 82. Bruxelles, l’hiver glacial, au cœur de la nuit gelée, la ville est déserte. Elle a 20 ans, elle est blonde avec des yeux verts et sa Lancia sport est en panne rue Dansaert. Monde cruel sans portable, sans internet …
Il a eu 20 ans lui aussi. Un jour avant ? Un jour après ? Ils ne se souviennent pas. Il est grand, brun avec des yeux bleu gris. Avec son mètre 95 il culmine, elle ne fait qu’un mètre 80, la blonde en panne. Il était garé à côté d’elle. Une vieille voiture. Un chameau peint sur la portière, un coucher de soleil sur le capot…La voiture est vieille mais elle n’est pas en panne. D’où venaient-ils ce soir-là ? Ils ne s’en souviennent pas non plus. Mais le jeune homme a ramené la jeune femme chez elle.
« Il était très beau. Ça ne lui était pas suffisant. Il était élégant, courtois, drôle, intelligent brillant, très cartésien et tout aussi déjanté. Il avait de faux airs de poète maudit, d’enfant sage et d’ange pervers tout à la fois. Mais par-dessus tout il semblait traîner une mélancolie incurable qu’il portait comme une fatalité ».
« Elle était belle. Mais si nous étions sensibles à nos apparences respectives, ce n’est pas ça qui a matché dans l’instant. En dépit de tous ses efforts un peu vains pour me faire croire à la blonde vaguement écervelée. Mais ça, ça n’avait pas du tout fonctionné. Je pense que les apparences n’étaient, ne sont que l’expression de ce que nous sommes. Et c’est cela qui a fusionné dans l’instant. Je ne sais plus vraiment ce que nous nous sommes dit ou non dans les turbulences de nos 20 ans. Elle m’impressionnait et m’impressionne toujours. Elle me connaissait de quelques heures, elle lisait en moi mieux que je ne me décrypte moi-même. Elle a mémorisé mieux que moi nos premiers moments. Mais j’en retiens la substantifique moëlle. J’en ressens encore maintenant le choc. Physiquement. Tellement il était fort. »
Pourtant cette nuit-là il n’y aura que du thé bouillant, des biscuits au gingembre et au citron. Le lendemain matin il est attendu à Paris, elle est attendue à Genève. Des biscuits, du thé et une longue conversation. Il lui parle de son clan, elle lui parle de son travail, de son univers professionnel et c’est là qu’il laisse tomber ces quelques mots : « Ça me passionnerait je crois ». Elle ne relève pas. Elle est attendue à Genève…Il n’insiste pas, il est attendu à Paris. Ils vont s’écrire beaucoup, se voir peu…Rarement dans la même ville, rarement dans le même mois. Mais si la vie les éloigne ils ont l’un et l’autre la certitude de se croiser à nouveau un jour. C’est à la faveur d’un article du Figaro qu’ils se retrouveront, renoueront une correspondance, virtuelle cette fois et reprendront le fil de leur conversation là où il en était resté 40 ans plus tôt :
« Ca m’aurait passionné, ça me passionnerait toujours je crois »
« Qu’est-ce qu’on attend ? »
ITA FACTUM EST
